Avec 70 % d’espaces verts, les plates-formes aéroportuaires gèrent d’importants espaces de prairie. Leur entretien représente un coût important et a un impact sur la sécurité comme sur l’environnement. En effet, de la hauteur et de la fréquence de fauches dépendent la composition végétale et la fréquentation animale.
L’association HOP! Biodiversité a organisé une journée d’échanges dédiée à ce sujet crucial, avec des représentants de tous ses partenaires : DGAC/STAC, aéroports, compagnie aérienne (dont un pilote), et autour d’un chercheur de son comité scientifique.
À la suite des présentations et débats dans les locaux de HOP! à Rungis le 20 janvier dernier, un consensus s’établit sur la possibilité de conserver un herbage plus haut et des tontes plus espacées, dans le respect des recommandations des Services Techniques de l’Aviation Civile (STAC).
Avec la nécessité toutefois d’adapter les comportements en fonction des conditions et contraintes propres à chaque structure.
Un moment de convivialité, d’échanges de bonnes pratiques et d’intégration globale des réflexions qui s’inscrit parfaitement dans l’esprit de HOP! Biodiversité
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